“Diminuer la dose de fongicide ? : Jean-Yves Maufras se montre lui aussi peu convaincu de leur intérêt lorsque les conditions sont bonnes. L’ingénieur teste tous les nouveaux produits. « J’en ai regardé beaucoup, que ce soit sur feuille, sur tige ou sur épi, mais je n’ai jamais rien vu qui soit vraiment probant avec les fongicides », résume-t-il. Il tempère néanmoins son propos au sujet du LE 846 de De Sangosse, adjuvant qu’il a dernièrement mis à l’expérimentation sur feuille et épi. « Les résultats d’efficacité étaient soit identiques aux témoins, soit meilleurs, donc en moyenne légèrement supérieurs », explique-t-il. Se pose alors la question du coût de l’adjuvant : peut-il être compensé par une diminution de la dose de fongicide ? Dans un programme antiseptoriose, le fabricant annonce, avec LE 846, une réduction jusqu’à 50 % de la dose pratique au T1 et de 33 % au T2. Des chiffres que va vérifier cette année Jean-Luc Maufras, en prenant comme dose pratique celle conseillée par l’institut, déjà inférieure de 40 à 50 % à la dose homologuée….”
TERRE-NET.fr – 6 avril 2020
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“DE SANGOSSE estime que d’ici 2030, le biocontrôle représentera 50 à 60 % du marché vigne. La firme qui a déjà un portefeuille bien fourni continue de développer sa gamme et lance deux nouveautés pour la prochaine campagne…” “Biofertilisants, biostimulants, produits de biocontrôle, adjuvants et outils de pilotage. DE SANGOSSE souhaite offrir aux agriculteurs les moyens d’accompagner les cycles de production de leurs cultures de manière durable et rentable. Pour la société, qui s’affiche comme le leader français des biosolutions, l’urgence de développer ces spécialités se fait sentir, sous peine d’interdiction accélérée de… Lire la suite » “La société cassipontine a amorcé une transition agroécologique il y a plus de vingt ans. Aujourd’hui, elle est le leader français des biosolutions. Fleuron industriel de l’Agenais, l’entreprise De Sangosse s’est résolument tournée vers l’avenir sans attendre les plans gouvernementaux et prescriptions des défenseurs de l’environnement plus ou moins incantatoires…” “La démarche “Zéro dans l’eau” donne tous les outils pour épandre les anti-limaces en protégeant les bords des champs et les cours d’eau. Car il reste essentiel de ne pas projeter de granulés en dehors de la parcelle traitée…” Récement dans le presse